En 1970, à 26 ans, Sebastião Salgado se retrouve par hasard avec un appareil photo entre les mains pour la première fois. En regardant dans le viseur, il a une révélation : brusquement, la vie prend sens. À partir de ce jour-là même s’il lui a fallu des années de travail acharné avant d’acquérir l’expérience nécessaire pour pouvoir vivre de son (…)
Voyages épiques aux confins de la terre : Salgado en quête d’une nature immaculée. J’ai recherché ce qu’il y avait de plus pur sur cette planète. Sebastião Salgado. L’édition limitée, conçue et réalisée par la femme et collaboratrice de Salgado, Lélia Wanick Salgado, présente de superbes reproductions de photos grand format qui ne sont pas (…)
Hommage au peuple et à la faune d’Afrique. Ce livre fascinant rassemble les photos de Salgado en trois parties : la première se concentre sur la partie sud du continent (Mozambique, Malawi, Angola, Zimbabwe, Afrique du sud, Namibie), la deuxième sur la Région des Grands Lacs (République Démocratique du Congo, Rwanda, Burundi, Ouganda, Tanzanie, (…)
Sebastião Salgado est un des photographes les plus respectés travaillant aujourd’hui, sa réputation forgée par des décennies d’attachement et images noires et blanches puissantes des personnes dépossédées et affligées prises dans les endroits oû les la plupart n’oseraient pas disparaître. Bien qu’il ait photographié dans l’ensemble de (…)
Dans Les enfants : réfugiés et migrants, Sebastião Salgado nous livre des portraits d’enfants de moins de quinze ans originaires du Mozambique, du Rwanda, de Croatie, du Burundi, de Hong Kong, d’Indonésie, du Vietnam, d’Inde, du Brésil, d’Afghanistan, d’Irak, de Turquie, d’Angola et de nombreux d’autres pays qui porteront le fardeau d’un avenir (…)
Sebastião Salgado nous livre un portrait de notre monde qui parle de la voix la plus rare qui soit, cette voix qui nous dit des choses que nous ne voulons pas savoir, des choses, peut-être, que nous ne savons pas appréhender, mais qui, lorsqu’on nous les dit, s’imposent instantanément comme vraie (Salman Rushdie, préface). Les cent trente-six (…)
Sebastião Salgado s’est incontestablement imposé, ces dernières années, comme un des plus grands photographes contemporains. Cet infatigable témoin porte un regard sur le monde dont le réalisme n’exclut pas la grandeur, pour lequel la détresse n’exclut pas la beauté. Sebastião Salgado a décidé d’anoblir l’homme et si, dans cette quête, il porte (…)
Même pendant que les machines, les robots et les ordinateurs remplacent des ouvriers, Sebastião Salgado, les photographies saisissantes le travail dur épuisant et persistant qui est toujours le sort de millions des hommes et de femmes autour du globe. Jamais preachy ou didactique, ces 350 images de duotone des récolteuses de thé au Rwanda, (…)
Sebastião Salgado a parcouru le monde pour fixer sur la pellicule la dignité des silhouettes et des visages de nos frères humains. Des mines à ciel ouvert du Brésil, oû les hommes-fourmis semblent se livrer à un labeur pharaonique, aux grands lacs asséchés d’Afrique de l’Ouest, oû femmes et enfants décharnés n’ont plus assez d’eau dans le corps (…)
Même pendant que les machines, les robots et les ordinateurs remplacent des ouvriers, Sebastião Salgado puissant, les photographies saisissantes indiquent le travail dur épuisant et persistant qui est toujours le sort de millions des hommes et de femmes autour du globe. Jamais preachy ou didactique, ces 350 images de duotone des récolteuses de (…)
Sebastião Salgado,un photographe de réputation mondiale, fait partie de la tradition de la « photographie concernée ». Il a reçu presque tous les prix et récompenses possibles dans le monde entier.
En 1994, il a fondé sa propre agence de presse, Amazonas Images, qui représente son travail. Il vit à Paris avec sa femme et collaboratrice Lélia Wanick Salgado, qui a fait la conception graphique de la plupart de ses livres. Ils ont deux fils. Salgado conçoit son travail sur le long terme par l’approfondissement de thèmes précis. Chacun des projets réalisés et faisant l’objet d’une publication témoigne d’une remarquable cohérence visuelle. La série, intitulée en français « La Main de l’homme », décrit un univers fermé, celui du monde industriel ancien, déjà conscient de sa propre disparition, de son devenir archéologique.