En résumé, mon emploi à Vogue pouvait se diviser en trois volets. D’abord la vie à Paris, sorte de trombinoscope de ceux dont les noms devaient absolument alimenter les conversations : artistes, écrivains, créateurs de toutes sortes. Ensuite les photographies de mannequins dans les décors de la ville ou sur le redoutable fond blanc du (…)
Célébrant le centenaire de la naissance de l artiste (1912-1994), une exposition inédite du musée de l Ancien Évêché à Grenoble et un beau livre ont révélé les Alpes de Doisneau. Près de 100 000 visiteurs et des dizaines de milliers de lecteurs les ont salués. Avec 20 photos tirées à part et un livret, ce coffret prolongera le plaisir de la (…)
Robert Doisneau (1912-1994) est le plus reconnu des photographes connus. Pourtant, celui qui symbolise aujourd’hui, grâce à ses milliers de négatifs, une certaine idée de la France des années plus ou moins noires, entre 1930 et 1950, reste à bien des égards un inconnu. Longtemps classé dans la catégorie des reporters au petit bonheur la (…)
Le saviez-vous ? Les plus grands photographes : Robert Doisneau, Henri-Cartier Bresson, Robert Capa, Willy Ronis, Jacques-Henri Lartigue, Gisèle Freund, Brassaï, Werner Bischof… ont collaboré voire débuter comme à Point de Vue Images du Monde– considéré comme le Life français de l’époque. Ce beau livre reprend la quasi intégralité les (…)
2012, on s’apprête à fêter le centenaire d’un personnage hors du commun. On a beaucoup parlé de Robert Doisneau et pour un peu, il commencerait à se figer, ce qui ne lui ressemble pas. C’est sans doute ce qui a poussé André Pozner à écrire ce livre. Le moment est venu pour lui de faire le point, de se souvenir et de raconter ses années (…)
En 1971, les pelleteuses se sont attaquées à la destruction des pavillons Baltard, victimes d’une politique jugée excessive et brutale. A l’époque, les Parisiens ont tout fait pour s’opposer à ce massacre architectural, parmi eux se trouvait Robert Doisneau. En 2011, le chantier du réaménagement des Halles commence. Ce livre propose de (…)
La première fois que Robert Doisneau prend l’avion pour les États-Unis, le 19 novembre 1960, il part réaliser un reportage pour le magazine Fortune. Thème du reportage : la construction de golfs à Palm Springs, refuge des riches retraités américains dans le désert du Colorado. Ce qu’il découvre là bas l’incite à dépasser largement le thème (…)
Ces cent cinquante portraits témoignent d’un demi-siècle de création artistique, depuis l’atelier de Paul Cézanne encore empreint de sa présence, jusqu’aux sessions de travail de Jasper Johns à Paris. Le photographie de Robert Doisneau se vit dans un plaisir toujours recommencé, dans une cueillette désordonnée d’images tel que l’illustre cet (…)
Pendant deux mois, en été 1945, Robert Doisneau effectua un reportage photographique en Alsace. Ses images ne montrent cependant ni ruines ni scènes d’épuration, mais une région heureuse, rassemblée autour du drapeau français et du 14 juillet. Une commande qui reste mystérieuse. Un voyage en Alsace, 1945 de Robert Doisneau
Robert Doisneau change de complice. Après Cavanna, c’est Daniel Pennac, l’auteur de La Fée Carabine, de Au bonheur des ogres et de La Petite Marchande de prose. Une fois encore, l’humour rassemble deux hommes sensibles à la saveur d’un certain milieu social : celui des banlieusards et de leurs enfants. Mais cette fois, l’école est finie et le (…)
Robert Doisneau est probablement le photographe français le plus connu dans le monde entier grâce au « Baîser de l’Hôtel de Ville ».
Les photographies de Robert Doisneau des rues de Paris et de sa banlieue ont fait sa renommée dans le monde éntier. Robert Doisneau se définissait lui-même plus comme étant un « pêcheur d’images » plutôt qu’un « chasseur d’images ». Doisneau est un passant patient qui conserve toujours une certaine distance vis-à-vis de ses sujets. Il guette l’anecdote, la petite histoire. Ses photos sont souvent empreintes d’humour mais également de nostalgie et d’un peu d’ironie.