Voilà 30 ans que Bernard Plossu déambule dans Marseille, se promenant à l’écoute du hasard. Il retient le flou des silhouettes, creuse les noirs et blancs rendus en contrastes. Photographier procède non pas d’une mise en scène artificielle mais d’une approche sensible par le pas de l’errance dans la ville. Il ne s’agit pas ici de dérober une (…)
De 1965 à 1966, Bernard Plossu voyage au Mexique et ramène des images qui révolutionneront le monde de la photographie. Le livre Le retour à Mexico, à travers une centaine de photographies en noir et blanc inédites, relate son retour dans la capitale mexicaine en 1970. S’immergeant dans les banlieues, il immortalisera la vie sociale de ces (…)
Bernard Plossu, artiste et arpenteur du monde, photographie les crêtes, les chemins, les châteaux, les villages de l’Ardèche, de Saint-Pierreville à Vals-les-Bains, du Mézenc au Tanargue et au Coiron... Après le Mexique, les Etats-Unis, l’Espagne ou l’Italie, il a répondu à l’invitation du centre d’art “la Fabrique du pont d’Aleyrac”, niché (…)
Au commencement, il y a le cadeau d’un terrain sur les hauteurs D’Hyères, face aux Iles d’Or, propriété offerte par sa mère à Charles de Noailles pour son mariage le 12 Février 1923 avec Marie Laure Bischoffsheim. Qui sont-ils ? Un couple d’aristocrates encore riches. Que veulent-ils ? Se distinguer autrement. De là né leur projet de (…)
Un album de quelques 65 photographies de Bernard Plossu, photographe culte de renommée mondiale, et deux textes inédits de Gil Jouanard à l’occasion d’une exposition du photographe qui aura lieu à la Bibliothèque départementale de Marseille. Né en 1945 au Sud-Vietnam, Bernard Plossu voyage et prend des photographies dans le monde entier (…)
Avec Littoral des Lacs Bernard Plossu nous invite à plonger dans un univers bucolique. Après- entre autres- le Mexique, la Californie, l’Inde, le Niger et l’Europe du Sud, l’infatigable voyageur a été invité à poser son regard sur les rivages des lacs d’Annecy, du Bourget et du Léman. Au détour de ses déambulations pédestres, il photographie (…)
Hyères est une commune à la fois rurale, urbaine, littorale et insulaire. On passe chaque jour d’Une dimension à l’autre et on s’y dépayse sans cesse. L’espace y est toujours ouvert et, à proximité de chez soi, on est aussi aux portes d’ailleurs. On doit à sa lumière l’expression Côte d’Azur. Mais le chemin de fer, au XIXe siècle, l’a évitée (…)
A l’invitation du Frac Haute-Normandie, Bernard Plossu, présentait vendredi 19 janvier 2007 pour la première fois les photographies qu’il a réalisées dans l’Ouest américain durant les années 70 / 80. Près de 400 images sont ainsi exposées au Bâtiment Trafic, à Sotteville-lès-Rouen, du 20 janvier au 4 mars 2007. Un ouvrage est publié à cette (…)
Bernard Plossu, né au Vietnam en 1945, est l’un de photographes français les plus connus d’aujourd’hui. Ses photos reflètent des lieux qu’il a visités partout dans le monde : Le Sénégal, la Turquie, la Pologne, le Mexique, le Guatemala, et l’ouest américain. Les photographies ici ont été prises par Plossu vers la fin des années 70 et sont des (…)
Bernard Plossu appartient à la génération des artistes qui, à partir des années 1970, ont contribué au renouveau d’un art en crise, tant dans le domaine du « photo-journalisme », que dans celui de la « photographie créative ». Son style, souvent identifié à la pratique du flou et du journal de voyage, a inspiré de très nombreux photographes. (…)
Bernard Plossu est un photographe françaises né le 26 février 1945 à Dalat, au Sud du Viêt Nam. La plus grande partie de son travail est constituée de reportages de voyages. De 1951 à 1962, il étudie à Paris. Il commence la photographie très tôt : en 1958, il voyage au Sahara avec son père, muni d’un Kodak Brownie Flash, et en 1965, part pour le Mexique dans le cadre d’une expédition anglaise pour photographier la jungle du Chiapas. Nombreux reportages en couleurs chez les indiens Mayas, en Californie, dans l’ouest américain, le Nevada, le Midwest. En 1970, il réalise un travail sur l’Inde, où naît l’idée de séquences « surbanalistes » : séquences banales qui sont en fait surréalistes. Il continue à voyager énormément, réalisant de nombreux reportages couleurs, et en 1975, part pour son premier voyage au Niger. Dès lors, il ne fait plus que des photos en noir et blanc prises avec une focale de 50 mm pour se placer en marge de la photographie commerciale.