3 août 2016 -
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Visa pour l’image 2016

L’an dernier à Perpignan, une énergie bouillante. Finies, les lamentations sur la presse qui ne produit plus assez. Un véritable enthousiasme. Il faut trouver de nouvelles manières de pouvoir continuer à travailler. Pas de solutions encore très concrètes, mais des idées qui fusent. Pleines de promesses. Les bourses, les prix qui se multiplient, à Visa pour l’Image aussi. En 2015, plus de 133 000 euros de prix à des photographes.
Festival International du Photojournalisme Du 27 août au 11 septembre 2016 Semaine scolaire du 12 au 16 septembre Soirées de projection du 29 août au 3 septembre Semaine Professionnelle du 29 août au 4 septembre
Marc Riboud est né en 1923, près de Lyon.
À l’Exposition universelle de Paris, en 1937, il prend
ses premières photographies avec le Vest-Pocket
Kodak offert par son père. En 1944, il participe aux
combats dans le Vercors. De 1945 à 1948, il fait des
études d’ingénieur et travaille en usine, puis décide
de se consacrer à la photographie.
En 1953, il obtient sa première publication dans le
magazine Life pour sa photographie « Le peintre
de la tour Eiffel ». Sur l’invitation d’Henri CartierBresson
et de Robert Capa, il intègre l’agence
Magnum.
En 1955, via le Moyen-Orient et l’Afghanistan, il se
rend par la route en Inde, où il reste un an. Il gagne
la Chine en 1957 pour un premier long séjour avant
de terminer son périple en Extrême-Orient par le
Japon.
En 1960, après un séjour de trois mois en URSS, il
couvre les indépendances en Algérie et en Afrique
subsaharienne. Entre 1968 et 1969, il effectue
des reportages au Sud ainsi qu’au Nord Vietnam,
où il est l’un des rares photographes à pouvoir
entrer. Dans les années 1980-1990, il retourne
régulièrement en Orient et en Extrême-Orient,
particulièrement à Angkor et Huang Shan, mais aussi
pour suivre les bouleversements de cette Chine
qu’il connaît depuis trente ans.