Auteur / Photographe : Lazlo

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Auteur / Photographe : Lazlo

Hardistic

Hardistic, de Lazlo

Une édition de qualité réunissant des photos déjà connues sur le site et bien d’autres inédites. Un recueil d’images au sein d’un concept incitant parfois à la réflexion, souvent à l’humour mais surtout, (...)

Auteur : Lazlo

Lazlo

Très tôt fasciné par la photo, LazLo commence sa carrière comme assistant photographe. Rapidement, il décide de se mettre à son compte et se spécialise dans la prise de vue d’objets.
En 1996, il s’associe à un graphiste et crée sa propre agence de publicité.
Mais, en perpétuelle recherche de nouveauté, l’envie d’explorer de nouveaux mondes s’empare de lui.

Après avoir mis son talent au service de l’objet, il se tourne tout naturellement vers ce qui le fascine depuis toujours : la femme
dans ce qu’elle a de plus troublant, son pouvoir érotique.

Commence alors pour LazLo un long travail de recherche sur l’érotisme.
En effet, comment montrer la nudité dans son expression la plus crue, mais aussi la plus belle et la plus forte, sans basculer dans la vulgarité ?
Considérant la pornographie comme de l’érotisme qui n’aurait pas trouvé son expression artistique, la réponse du photographe est simple : “ contourner le vulgaire pour faire du “hard” un art.”
Ainsi, tout sexe, acte sexuel ou nudité peut-être sublimé, si l’on y mêle l’art (et la manière).

Alors que la plupart des photographes érotiques utilisent l’élégance du noir et blanc, LazLo travaille la couleur Certes, cette démarche “hardistique” est audacieuse, la couleur ne dissimulant rien et offrant à notre regard une réalité beaucoup plus authentique. Mais c’est aussi de cette réalité que va naïtre la véritable émotion, essence même de l’art.

Car la femme, sous le regard de LazLo, est multiple. Elle s’exhibe, s’affirme, s’offre ou se soumet, tour à tour dominatrice, femme-fatale, femme-enfant ou même femme-objet.
Elle se dévoile sans contrainte ni tabou devant celui qui, ainsi qu’il le dit lui-même, n’est que le “ révélateur de son expressivité. Mais quel révélateur !
Libre d’exprimer sa personnalité, regardée avec acuité, admirée et sublimée, la femme s’adonne à ses fantasmes les plus pervers, comme celui où elle avoue son désir de ressembler le temps d’une image à un homme. Elle se livre, devant l’objectif, à des actes tellement subversifs que l’on se demande alors si l’on est dans la réalité, dans la projection de ses fantasmes ou, tout simplement, des nôtres ?

Par Christine D.

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